Revue de Presse

LE PARISIEN

“Six comédiennes de la compagnie Brutaflor s’emparent des Héroïdes du poète Ovide. Elles l’enrichissent en y injectant des propos propres, une colère farouche qui vient embrasser celle de la femme d’aujourd’hui. Musique et chants, jeu aux multiples couleurs, propositions parfois radicales, souvent drôles, oniriques ou foutraques, sur le plateau elles insufflent une énergie communicative, un souffle épique et revigorant.”

LA TERRASSE  

« Le propos brillant, qui entremêle avec une pertinence savoureuse cette pluralité de voix narratives dans un enchaînement de tableaux scéniques tous plus inventifs les uns que les autres, n’a d’égal que le brio des interprètes. Les six comédiennes-musiciennes abolissent le quatrième mur avec une aisance déconcertante et jubilatoire, jouant avec un public conquis qui saluera leur performance d’une longue standing ovation. » 

SCENEWEB

« Les Héroïdes est un spectacle cathartique qui aime les grands écarts, entre jean et paillettes, chant lyrique et rock’n’roll, baskets et talons hauts, rage et désespoir, choralité et solo. Un festival de séquences toutes plus inventives et drôles les unes que les autres, construisant avec peu des ambiances disparates et esthétiquement superbes. Ce spectacle pétillant pétri de fantaisie affiche un féminisme joyeux et plein d’allant. »

CULTNEWS

« Flávia Lorenzi et sa troupe nous introduisent dans un univers où paganisme et paillettes se côtoient. De la comédie musicale en passant par les chants sorciers, Les Héroïdes est un spectacle où le chant a la part belle. Les chœurs de femmes constituent une figure esthétique, une réponse collective, au patriarcat. Les comédiennes signent une interprétation dynamique, drôle et audacieuse ; le pari est réussi. »

WANDERER

« Dans un spectacle musical et parlé, véritable rhapsodie nourrie à l’écriture de plateau avec six comédiennes, danseuses et chanteuses éblouissantes, Les Héroïdes devient d’emblée l’un des rendez-vous incontournables de cet édition du Off. Loin d’en proposer une simple adaptation scénique, la metteuse en scène et dramaturge, Flávia Lorenzi, les actualise de façon tout à fait singulière, oscillant entre gravité et légèreté, avec une acuité remarquable et une férocité certaine même. »